tag:blogger.com,1999:blog-2901467833096672926.post2847206259151831163..comments2016-10-11T14:32:10.584+01:00Comments on Comme un goût de cendre au réveil: où l'on vendange de l'homme...denis Marulazhttp://www.blogger.com/profile/04641428459520940982noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-2901467833096672926.post-67323497809681614782007-02-23T10:08:00.000+01:002007-02-23T10:08:00.000+01:00Chère Kaïkan, la "moindre des choses" n'est pas év...Chère Kaïkan, la "moindre des choses" n'est pas évidente pour tout le monde. Loin de là. Et c'est justement pour cela que j'ai écrit ce texte, pour qu'on comprenne que les yeux, ça sert à voir et surtout à regarder ! <BR/>Le problème, c'est que dès que certains mots commencent à flotter dans l'air vicié, les fenêtres se ferment, non pour éviter l'air vicié, auquel on s'habitue, mais les mots qui dénoncent la pollution de l'air.<BR/>On écrabouille des libellules à longueur de temps. Physiquement et moralement. Dès le berceau, on leur cautérise les germes d'ailes. Pour s'assurer que "ça" ne poussera jamais. Elles sont tellement dangereuses pour la marche crapuleuse du monde...<BR/>Ce qui me déchire, c'est que les braves gens sont complices, par pré-formatage de leur moralité, de leur propre mutilation. <BR/>Enfin, même s'ils doivent errer dans le désert, mes mots auront été écrits et demain, je peux finir tranquille sous les pneus d'un autobus. Maigre consolation. Avec celle aussi de savoir que toi, moi, d'autres, ne sommes pas tout à fait seuls. Peut-être trop fatigués, trop écoeurés par l'inertie de la masse molle, pour tricoter entre nous autre chose que des liens courtois. Quand ils existent.<BR/>Merci, Kaïkan, d'être venue tenir compagnie à ma libellule et à son admirateur.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2901467833096672926.post-18770882886967885282007-02-20T12:46:00.000+01:002007-02-20T12:46:00.000+01:00Garder les yeux grands ouverts, en dénonciation et...Garder les yeux grands ouverts, en dénonciation et provocation ...<BR/>C' est bien la moindre des choses ...<BR/>C' est comme dépecer le cadavre d' un chat pourrissant pour être en face de l' odeur de la mort, en communion d' un frère mort de ce monde d' indifférence, puis retourner la vase de l' étang pour sentir quel fut sa dernière onction sur terre ...<BR/>Frémissement d' ailes blessées à toi, Hombre ... Blessées mais bien présentes ...Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2901467833096672926.post-35562766116462802422007-02-18T21:02:00.000+01:002007-02-18T21:02:00.000+01:00Ma Camille, tu es en empathie avec mes deux person...Ma Camille, tu es en empathie avec mes deux personnages. Ils se sentent moins seuls !<BR/>Bises.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2901467833096672926.post-37252409527832491362007-02-18T18:54:00.000+01:002007-02-18T18:54:00.000+01:00illuminer le bocal de son court éclat et précipite...illuminer le bocal de son court éclat et précipiter la chute un peu plus vite... plutôt que de vivre bougie molle indéfiniment <BR/><BR/>tendresses à toi Denis...Anonymousnoreply@blogger.com